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Le premier malamax débute

Tout est prêt pour l’ouverture du malamax ce lundi 3 avril, à commencer par le matériel d’entraînement. Le fameux, le précieux, celui que tous les jeunes veulent à tout prix ! Chaque participant au camp reçoit deux maillots de foot, un short, une paire de chaussette ainsi qu’une balle, un sac de sport et une casquette. Mais avant que les malamaxiens puissent fièrement porter leurs couleurs dans le stade de la Maladière, il a fallu préparer minutieusement les affaires. Arrivées par carton, elles ont dû être triées et mises par lot dans des sacs destinés aux enfants.

 

500 maillots en une semaine

Le plus grand challenge a été celui de floquer tous les maillots avec les logos des partenaires. « Cela nous a pris une semaine », note Nastassja von Gunten, administratrice à la Fondation Gilbert Facchinetti (FGF). « Nous avons profité de floquer tous les maillots en une fois. C’est à dire, ceux du stage de printemps et ceux d’été. Cela représente environ 500 chandails avec ceux des gardiens ». Un temps qui est investi à bon escient. « C’est très, très important pour les enfants. Je pense que l’équipement est un des aspects qu’ils préfèrent au sein du camp malamax. Et puis, lorsque tous portent le même maillot, cela les met sur un pied d’égalité. Il y en a pas un qui pourra dire, regarde, moi j’ai le maillot de tel ou tel. Porter le chandail rouge et noir leur donne aussi l’impression de vivre comme des professionnels. En plus, ils sont entraînés par nos coachs élitaires. Les jeunes sont très fiers », remarque Nastassja von Gunten.

 

Le malamax, ça se prépare

Depuis novembre, l’équipe de l’administration de la FGF assure la bonne organisation du camp malamax. Au début du processus, il s’agit de s’assurer des autorisations de la ville, de la location de l’espace Gilbert Facchinetti ainsi que des terrains. Ensuite, les inscriptions sont lancées sur internet. Les formulaires sont enregistrés grâce au logiciel « invités.ch », mis généreusement à disposition par la société informatique neuchâteloise bluestar solutions. Cette année encore, les inscriptions se sont bouclées très rapidement. « Après quatre semaines, il n’y avait plus de place pour le premier camp. Quant à celui d’été, un mois plus tard, il était aussi complet », note Nastassja von Gunten.

Cinquante jeunes dans l’écrin de la Maladière, ce sera lundi, dès 9h30 pour un camp qui s’annonce passionnant.