Les joueurs de la Fondation Gilbert Facchinetti arrivent en fin de trêve hivernale. La première semaine de mars est synonyme de reprise.

Ils n’ont pas chômé durant la pause de décembre à mars. Les joueurs des différentes équipes de la Fondation Gilbert Facchinetti (FGF) se sont entraînés d’arrache-pied au cours des semaines précédentes. Ils ont dû faire avec les aléas de la météo, qui rendait les terrains impraticables. Grâce à la flexibilité de la ville de Neuchâtel, le secrétariat de la Fondation a pu trouver des solutions pour assurer les entraînements. La Maladière a par exemple été mise à contribution. La première équipe ne s’y entraînant pas, ce sont les jeunes qui ont pu bénéficier du stade.

Reprise en mars

Pour faire le point sur le classement des trois équipes les plus âgées, celui des M18 est toujours dominé par Grasshopper-Club Zürich. Les Zurichois comptent 34 points en 14 rencontres. Le Team BEJUNE figure au milieu du classement, à la sixième position. Devant l’équipe « rouge et noir », le FC Zürich qui compte une pointe de plus et derrière Servette FC. Pour son prochain match, l’équipe des M18 affronte la lanterne rouge du classement, à savoir le FC Thun Berner Oberland.

Les M16 élite reprennent eux le championnat un peu plus tôt. Le 23 février, le Team BEJUNE se rend sur les terres du Team Winterthour/Schaffhouse. Ces derniers occupent également la dernière place du classement, deux places et sept points derrière le Team BEJUNE.

Du côté des M15, on se prépare à affronter le Team Ticino TTA. Dans cette catégorie d’âge, Neuchâtel Xamax FCS est neuvième au classement, soit au milieu de tableau. Les Tessinois comptent neuf points de plus. La rencontre aura lieu le samedi 2 mars au Centro Sportivo Nazionale Tenero.

Le jeu avant le résultat

Ces classements permettent de voir que les efforts de formation payent. Les équipes parviennent toutes à rivaliser à lutter contre des grands clubs comme Sion, Servette ou encore Zürich. D’autant plus que le mot d’ordre au sein de la Fondation Gilbert Facchinetti est le jeu. Les entraîneurs s’efforcent de pousser les joueurs à produire du football fair-play et efficace. Surtout, ils comptent sur le collectif davantage que sur la prouesse technique individuelle. La preuve ? Au sortir du match, le discours s’axe largement sur les phases de jeu qui ont porté leurs fruits. Et non sur les occasions manquées.