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Un malamax brillant

L’édition estivale du malamax s’est déroulée sous les meilleures conditions possibles. Les 105 enfants qui ont participé au camp d’entraînement de la Fondation Gilbert Facchinetti, de dimanche à jeudi, ont eu droit à du soleil et de la bonne humeur.

La scène est attendrissante : les enfants troquent leurs maillots de Cristiano Ronaldo, Lionel Messi ou encore Manuel Neuer contre celui de la Fondation Gilbert Facchinetti (FGF). Lors de ce camp d’entraînement, tous deviennent « rouge et noir ». Et comme l’équipe première qui évolue en Super League, ils foulent La Maladière. Le premier jour – le dimanche – est largement dédié aux familles. Une fois que tout le monde a récupéré son matériel, l’évènement peut être lancé et les footballeurs en herbe envahissent le terrain.

 

Un encadrement idéal

Le malamax profite à tout le monde. Autant les membres de la Fondation, que les parents, entraîneurs et enfants apprennent durant ces quelques jours. Des entraîneurs expérimentés, de la Fondation et de Bienne encadrent les joueurs et anciens joueurs des équipes juniors. Ces derniers vont eux-mêmes faire de leur mieux pour faire vivre le foot aux petits. C’est une manière pour ces M17 et M18 d’expérimenter le leadership. Et peut-être de se rendre compte de ce que voulait leur dire leur propre entraîneur. Quant aux Malamaxiens, l’évènement semble plaire. Certains d’entre eux enchaînent les participations, et en sont par exemple à leur cinquième édition. Et comme dans une grande famille, les entraîneurs voient apparaître les petits frères et petites sœurs, eux aussi impatients d’apprendre à jouer sur le terrain des grands.

 

A noter que les parents sont les bienvenus dans les tribunes. « Nous sommes contents quand vous venez regarder les entraînements » expliquait au public Frédéric Page, le directeur technique de la FGF. Une fois l’évènement lancé, et tous les joueurs sur le terrain, les parents et amis regardent d’un œil plus ou moins distrait. Il faut dire que tous n’en sont pas à leur coup d’essai. « C’est la deuxième fois que je viens » raconte un père, présent pour son fils. « Je crois qu’il voudra venir chaque année, vu à quel point il adore » rigole-t-il.

Pour revivre la première journée du malamax en vidéo :