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Groupe E

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

43 ans, marié, deux enfants, j’ai grandi au Landeron et longtemps vécu à Neuchâtel. Je suis fan de Neuchâtel Xamax depuis tout petit.

Pour vous, la Fondation Gilbert Facchinetti (FGF), c’est…

C’est le futur de Neuchâtel Xamax. C’est par là que doit se construire le Xamax de demain. C’est aussi le garant du maintien d’une formation au football d’élite dans le canton de Neuchâtel.

Pourquoi avez-vous décidé de vous engager en faveur de la FGF ?

À la suite du triste épisode « Chagaev », il a fallu rapidement sauver le mouvement junior. Ça a été possible grâce à l’engagement de Groupe E, de la BCN et du Conseil d’Etat Neuchâtelois, sous la houlette de Philippe Gnaegi. Une fois le maintien du mouvement de formation assuré par les membres de la Fondation, j’ai intégré le Conseil de Fondation comme représentant d’un de ses sponsors principaux.

Quel est votre meilleur souvenir, respectivement, votre plus grande satisfaction dans le cadre de ce partenariat ?

Le plus satisfaisant c’est de voir la Fondation s’établir dans la durée, former quantité de jeunes joueurs. On ne le souligne peut-être pas suffisamment, mais outre le côté sportif la Fondation a aussi un aspect social qui n’est pas négligé. Et puis, finalement, la formation c’est de l’investissement, celui de nos entraîneurs qui ne ménagent ni leur temps, ni leur peine pour offrir une formation de qualité à nos joueurs.

Quel est votre plus grand souhait pour la FGF ?

Je souhaite que soit renforcée une vision commune avec la première équipe. Qu’il y ait un alignement sur les choix sportifs, les objectifs, l’intégration de nos jeunes. J’aimerais surtout que le club soit régulièrement en mesure d’aligner des jeunes que nous avons formés, et qu’il soit leur premier débouché pour débuter leur carrière.

Plusieurs joueurs de la FGF ont entamé une carrière professionnelle, d’autres suscitent l’intérêt de clubs prestigieux. Qu’est-ce que cela vous inspire ?

Cela démontre que nous sommes sur la bonne voie, et qu’il faut continuer dans cette direction. Il faut surtout garder un cadre qui favorise l’épanouissement de nos jeunes joueurs, et les préparer au mieux au haut niveau.

Comment voyez-vous la FGF dans dix ans ?

Dans la continuité de ce qui se fait aujourd’hui, dans l’esprit qui a prévalu lors de sa fondation, avec une structure juridique propre, mais avec une vision plus intégrée avec la première équipe. Et je la vois bien sûr toujours plus performante, plus développée au niveau médical, nutritionnel, et de la préparation mentale.

Que représente le football à Neuchâtel pour vous ? Un souvenir ou une anecdote?

Enormément de bons moments, la venue de club prestigieux comme le Real, le Bayern, l’Inter, des clubs contre lesquels nous avons pendant longtemps maintenu une invincibilité. Des joueurs fantastiques, des plus besogneux, un président finalement à qui nous devons tout : Gilbert Facchinetti. On pourrait en parler pendant des heures.

Un souvenir ? mon premier match à la Maladière avec mon papa. Un match contre le grand Zurich du début des années 80, un match hélas perdu 2-0.

Plutôt équipe nationale ou Ligue des champions ?

Un match avec de l’intensité, de l’engagement. Du cœur, moins de tactique. Alors plutôt équipe nationale.

 

Fiche de l’entreprise :

Raison sociale : Groupe E
Ville : Granges-Paccot (Fribourg)
Domaine d’activité : Energie
Nombre d’employé : plus de 1500
Année de création : 2006
Liens : www.groupe-e.ch / Facebook / LinkedIn / Twitter

 

Sur la photo: Gilles Allemann, responsable marketing chez Groupe E.